Cet été, j'ai lu la trilogie Hunger Games de Suzanne Collins

Hunger Games
Hunger Games I, Hunger Games 2 - L'embrasement, Hunger Games 3 - La révolte
Trilogie de Suzanne Collins
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Guillaume Fournier
Pocket Jeunesse, 2009, 2010, 2011.

À tous les lecteurs intéressés par cette trilogie, à tous les parents d'adolescents à qui on demande d'acheter le tome 1 de cette trilogie: Ce sont les trois tomes ou RIEN ! Il n'y aura pas de 

"Tu attendras ton anniversaire pour avoir le tome 2 et puis le Noël d'après pour le tome 3."

Non ! Impossible ! 

"Les trois tomes ou RIEN !", ça veut aussi dire que lorsque vous décidez de vous jeter dans les Hunger Games, faites confiance à l'auteur. Ne vous laissez pas distraire par les commentaires de l'éditeur, des bloggers, par la couverture, et surtout NE LISEZ PAS les quatrièmes de couverture des tomes 2 et 3.

Pour savoir de quoi il est question, voici le quatrième de couverture du tome 1: 

Dans un futur sombre, sur les ruines des États-Unis, un jeu télévisé est créé pour contrôler le peuple par la terreur. Douze garçons et douze filles tirés au sort participent à cette sinistre téléréalité, que tou le monde est forcé de regarder en direct. Une seule règle dans l'arène: survivre, à tout prix. 

Quand sa petite soeur est appelé pour participer aux Hunger Games, Katniss n'hésite pas une seconde. Elle prend sa place, consciente du danger. À seize ans, Katniss a déjà été confrontée plusieurs fois à la mort. Chez elle, survivre est comme une seconde nature...

On se doute que sur trois tomes, l'histoire embarquera le lecteur plus loin qu'une simple émission de téléréalité. J'ai lu le troisième tome pratiquement d'une traite. Je ne pouvais plus m'arrêter. J'avais le coeur serré et les larmes aux yeux, à cause de la violence, de la peur, de la vengeance, de l'injustice... La guerre fait rage. Il y a de la sincérité dans ce livre. On est oppressé parfois, lorsque l'on ressent le malaise de Katniss. 

Ce livre offre un regard pertinent sur les dérives possibles de notre société. J'espère que notre futur sera plus gai, et nettement moins meurtrier. 

Je recommande ces ouvrages (les trois sont à lire, et dans l'ordre. Of course !) à partir de la 4e ou 3e (14-15 ans), et à tous les adultes. Je ne pense pas que ce livre convienne à des lecteurs plus jeunes, ou alors ils doivent être avertis. Il y a des morts et des scènes assez dures de meurtres, non pas dans les détails sanguinolents mais plutôt dans les situations. Devoir tuer un ami, ou le voir se faire assassiner sous ses yeux, n'est pas forcément quelque chose d'évident.... La pression des Hunger Games est plus que palpable, complètement oppressante. 

À LIRE !

La maison en petits cubes - Kunio KATÔ et Kenya HIRATA

La maison en petits cubes
Illustré par Kunio KATÔ
Écrit par Kenya HIRATA

Traduit du japonais par Fédoua Lamodière
Éditions: nobi nobi !, 2012.

Quatrième de couverture: 
Dans une ville entièrement immergée, un vieux monsieur résiste encore et toujours à la montée du niveau de la mer. Chaque fois que l'eau atteint son plancher, il est obligé de bâtir une nouvelle maison par-dessus la précédente, si bien qu'au fil du temps son logis a fini par ressembler à une immense pile de petits cubes. Un jour, alors qu'il s'est encore une fois lancé dans la construction d'une nouvelle demeure, ses outils tombent tout au fond de l'eau. Il enfile sa combinaison pour aller les repêcher, et au fur et à mesure qu'il descend à travers ses anciennes maison, de lointains souvenirs lui reviennent en mémoire...

Un magnifique livre, et un superbe film (ICI), pleins de poésie.
Lorsque le vieil homme plonge, les souvenirs remontent. Ce livre est beau.

Je l'avais vu au Salon du Livre, je l'avais lu.
Je l'avais vu en librairie, je l'avais relu.
Je l'ai vu dans la bibliothèque de Capucine, je n'ai pas hésité, je lui ai emprunté !

Un mercredi en images - Amorfamulet

Un mercredi en images *56*

Credit: Amorfamulet

T'choupi à l'école - Thierry Courtin

T'choupi à l'école
de Thierry Courtin
Nathan, 2012
(pour l'édition dans le cartable, sinon première édition en 2007)

Ils sont forts ces éditeurs ! Un fan de T'choupi, même s'il a déjà T'choupi à l'école aura du mal (ou ses parents plutôt !) à résister à ce petit cartable à l'effigie de ce personnage incontournable dans les rayons de littérature pour la jeunesse. 

Pour 16,95€, vous avez 1 histoire de T'choupi et deux livres plus éducatifs sur les lettres et les nombres, et le petit cartable "lavable en surface à l'éponge, 100% coton". Je ne l'ai pas testé pendant une année scolaire, mais il a l'air assez résistant, pour un enfant en maternelle. 

Pour ce qui est de l'histoire T'choupi à l'école, le schéma est assez classique: arrivée à l'école, jeux, récréation, cantine, sieste, histoire racontée par la maîtresse, fin de la journée. L'intérêt, comme c'était le cas également dans T'choupi et la cuisine, réside dans la possibilité d'une lecture à deux voix. Certains mots sont remplacés par un dessin, comme le manteau, les crayons, le ballon. 

Un petit album très sympa pour tous les amateurs de T'choupi, mais si on considère l'ensemble des livres pour enfants qui parle d'une journée d'école, il n'a rien d'exceptionnel. Il est bien, mais n'a pas ce petit truc en plus, qui me ferait dire "Il est trop top, à lire sans attendre!". 

À une prochaine fois, pour découvrir les autres livres présents dans ce petit cartable. 

Je lis en numérique les aventures de Moi, Thérèse Miaou

Je lis en numérique, avec une application sur iPhone et iPad datant de 2010.... 

Thérèse Miaou, Pas touche à mon coussin des éditions Hatier Jeunesse. 

Et oui, vous avez bien lu ! 2010 ! C'était une des toutes premières. Des pages de livre qui se tournent avec le doigt, un chat qui miaule lorsque l'on tapote deux fois l'image, rien d'exceptionnel pour cet été 2012. Mais il y a deux ans, je me rappelle avoir été émerveillée. 

Pourquoi ressortir ce livre-application aujourd'hui ? Cela fait un moment que je souhaitais en parler, comme d'autres applications installées qui viendront enrichir la catégorie Je lis en numérique. Ce qui m'a décidé:  la sortie prochaine d'un nouvel album de Thérèse Miaou (Moi, Thérèse Miaou, à paraître le 03 octobre, aux éditions Hatier). 

L'application Thérèse Miaou, Pas touche à mon coussin est un livre numérique, qui raconte l'histoire de Thérèse (le chat), à a recherche d'un endroit au calme pour faire sa sieste. Les coins en apparence calmes se révèleront être de vrai traquenards. Les illustrations de Frédéric Pillot sont à apprécier dans l'idéal en tenant l'iPad à l'horizontale. La double page prend toute son ampleur. Le texte de Gérard Moncomble est à lire à haute voix, car les sonorités chantent. Il y a du rythme, comme les courses poursuites dans lesquelles Thérèse est poursuivie (bien évidemment!). Le lecteur suit Thérèse dans ses aventures de très près. Le texte est à la première personne du singulier et l'angle de vue dans les illustrations est à la hauteur des yeux d'un chat.
Au fil d'une quête d'un lieu de sieste, on apprend à connaître Thérèse, et on finit par l'adorer.
Je vous conseille cette application sortie en 2010, mais toujours disponible, car l'histoire est chouette, car j'ai eu un coup de coeur pour Frédéric Pillot, et Thérèse et car elle ne coûte que 2,39€.  

Le dimanche, je relis les Beatles - Podcasts de l'été

Le dimanche, je relis et je réécoute les Beatles *55*

Le matin, cet été, dans le 7/9 de France Inter, il y a eu du rock.
L'émission s'appelait Génération Rock.

La première semaine a été consacrée au groupe mythique des Beatles.  

Voici les cinq émissions à (ré)écouter. Je profite de l'occasion pour vous reparler du livre, coup de coeur, de Laurence Schaack et Goulven Hamel: Au nom du père, du fils et de John Lennon. 

Bonne écoute et Bonne lecture ! 

Que nos vies aient l'air d'un film parfait - Carole Fives

Que nos vies aient l'air d'un film parfait

Carole Fives

Le Passage, 2012.

Quatrième de couverture:

Certains pensent que le divorce, ça ne sépare que les adultes. Années 80. Déferlante rose sur la France. Première grosse vague de divorces aussi. À la télé, Gainsbourg, Benny Hill et le Top 50.

Un frère et une soeur sont éloignées. Vacances scolaires, calendriers, zone A, zone B. La séparation est vécue différemment par chacun. Chacun son film, sa version, le père, la mère, la soeur. Chacun sa chanon. Un seul se tait, le cadet. Lui ne parle pas, il attend. Huit ans, neuf ans, dix ans...

Dans les familles, les drames se jouent mais, ne se disent pas. Huit ans, vingt ans, trente ans... Que nos vies aient l'air d'un film parfait est un livre sur l'amour fraternel, celui qui seul permet de traverser ces années sauvages, ces plages d'enfance.

Pour commencer je remercie le club de lecture du Virgin à côté de chez moi, qui m'a permis de découvrir ce livre de la rentrée littéraire. Il est agréable de se dire que peut être deux ou trois clients (pourquoi pas 325 083?!), liront ce livre à cause de moi. Dans ce Virgin, les lecteurs ont le droit de s'emballer et de partager leurs coups de coeur ! 

Pour ce qui est de vous, j'espère aussi vous donner envie de lire ce "roman" de Carole Fives. Il m'a surpris par sa forme tout d'abord. Il n'est pas question d'un roman, avec une intrigue, comme l'on peut l'imaginer classiquement. (Si un érudit de littérature adulte passe par mal, je me fais dégommer, car il me répondra sûrement que le roman ne se définit pas par sa forme, que la littérature est multiple... Bref!). Je le comparerai (c'est mon opinion personnelle) à une émission de télévision, un peu sous forme de reportage, dans laquelle les personnages d'une même histoire, livrent l'un après l'autre leur ressentis, sans jamais se croiser et sans jamais entendre ce que disent les autres. Le montage vidéo permet de garder un certain suspens. On a envie de suivre la fin de l'émission, car on sent que tout n'est pas dit, malgré les révélations de chaque personnage. 

La fille, le père, la mère raconte le divorce, la séparation d'une famille. Ils dévoilent ce qu'ils ont au fond d'eux-même, parfois le moins avouable. Se voilent-ils la face ? Se mentent-ils à eux même ? C'est difficile de le dire. Carole Fives réussit à nous embarquer dans cette histoire de famille, pour nous parler ensuite des liens fraternels. J'ai aimé ce petit livre, ancré dans les années 80. J'ai aimé ce livre, qui laisse la parole aux membres de la famille. J'ai aimé la franchise, même si elle est tranchante. 

Bonne rentrée littéraire à tous ! 

Théa pour l'éternité - Florence Hinckel

Théa pour l'éternité

de Florence Hinckel

Syros, Là tout de suite maintenant, hier en fait... Mais c'est tout frais, tout chaud, chez votre libraire!

Collection Soon

Attention Coup de coeur ! 

Quatrième de couverture (que je n'ai pas lu avant d'entamer le roman, si vous voulez aussi garder la surprise, fermez les yeux, descendez de quelques lignes, non même pas... arrêtez vous là... et faites moi confiance, allez lire le roman, sans vraiment savoir de quoi ça parle.... Bonne lecture !)

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Vous êtes sûrs ?

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Vraiment ?

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.... Ok, voilà ce que l'éditeur nous dit: 

Théa est secrètement amoureuse de Théo, son meilleur ami d'enfance, qui lui préfère la pom-pom girl du lycée.

Théa vit seule avec sa mère, une ancienne présentatrice de télévision obnubilée par le souci de paraître jeune. 

Théa a l'impression que le temps passe trop vite et que les promesses de l'enfance sont déjà loin. 

Alors, quand le professeur Jones lui propose d'être le plus jeune cobaye d'un programme visant à stopper le vieillissement, Théa décide de saisir cette chance. 

Le destin hors normes d'une héroïne qui a franchi la limite interdite. Un roman déroutant d'une évidente actualité. 

Mon avis: 

Pour les amateurs de dystopie (Mlle Wikiped en parle LÀ), ce roman parle du passage entre le monde de maintenant et un lointain avenir plus troublé. Il évoque la faille, le moment où tout peut basculer. Demain, après-demain, ou la semaine prochaine, on pourrait proposer un traitement pour ne plus vieillir, pour que le corps reste infiniment à un âge bien précis, plutôt jeune de préférence. Théa est le coeur de ce basculement. Ses questions sur la vieillesse, sur la non-vieillesse sont celles de n'importe quel lecteur. 

Ce roman m'a embarqué. À travers l'histoire d'une adolescente, il parle de la société de demain, mais aussi d'aujourd'hui. J'ai voulu prendre les pilules miraculeuses, puis j'ai regretté, et en fin de compte non, je ne savais plus quoi choisir. J'ai suivi Théa, tout à la fois envieuse et intriguée. 

Ce roman conseillé à partir de 13 ans, peut être lu par les plus grands, car nous vivons tous dans le monde là, juste dehors, qui combat la vieillesse, et qui a envie d'une jeunesse éternelle. Théa peut être moi, toi, vous, eux, n'importe quand à partir de maintenant. 

Bonne lecture ! 

Je lis la presse: Ils étaient dans Je Bouquine il y a 15 ans !

Une fouille historique dans les étagères d'une bibliothèque. 

Des magazines en vrac, datant de ma jeunesse et de celle de mes frères. 

Des souvenirs d'arrivages hebdomadaires d'histoires, de reportages, de BDs. 

Un étonnement ... Je m'arrête. Je connais des noms qui apparaissent sur les couvertures de certains Je Bouquine. J'ai lu toutes ces histoires, en 1991, 1995, 1993, 1995; et je n'ai jamais fait le lien. Je ne me souvenais pas. Je devais partager sur ce blog de littérature pour la jeunesse ma découverte...

Il y a bien longtemps j'ai lu du Marie-Aude Murail (Bon ça, ce n'est pas une grande révélation, je me souviens de quelques romans, aux éditions de L'école des Loisirs), mais aussi du Hubert Ben Kemoun, du Marie Desplechin, du Jean-Marc Ligny, du Malika Ferdjoukh....

À cette époque, les adolescents écoutaient Étienne Daho, et Dire Straits. Ils lisaient sans le savoir les histoires d'auteurs, qui sont désormais devenus des références. En arrivant à cette conclusion, je me suis dit qu'il fallait que je me remette à la lecture des Je Bouquine, je pourrai lire les auteurs à succès de demain....

Direction la maison de la presse, pas de Je Bouquine.... Pfff ! Ils sont nuls ceux là ! Une autre maison de la presse, la même chose... Et ça se répète encore et encore. J'en suis à 6 maisons de la presse dans différents coins de Rennes. Mais c'est quoi ce bordel ! Bayard dites moi: Où trouve-t-on Je Bouquine ? Êtes-vous en rupture de stock ? En grève ? 

Je ne lâche pas mon idée de me remettre à lire ce magazine... mais je dois le trouver pour ça... Affaire à suivre ! D'ici là je vais relire ceux que j'ai sous la main, qui ont un peu plus d'une quinzaine d'années !

Coeur mandarine - Cathy Cassidy

Coeur Mandarine
de Cathy Cassidy
Troisième tome de Les Filles au chocolat
Nathan, 2012.

Quatrième de couverture: 

Je m'appelle: Summer Tanberry
Mon âge: 13 ans
Je suis: perfectionniste
Mon style: leggings et robes à la mode
J'aime: la danse, la danse, la danse
Je rêve: de devenir danseuse professionnelle
Mon problème: j'ai l'impression que tout m'échappe au moment où je voudrais tout contrôler...

Entre chaque tome, l'histoire de la famille avance. On passe du point de vue d'une fille à une autre. Summer Tanberry est la soeur de Skye Tanberry, dont l'histoire m'avait donné envie de manger de la guimauve pendant des dizaines de pages. Là ce ne fut pas le cas.... Au contraire. 

L'angoisse monte peu à peu autour de Summer. Elle se déconnecte de ses soeurs. Son seul objectif est un concours de danse. Elle danse, danse, danse... Et martyrise son corps. Au milieu d'une famille, dont le business principal est la production de chocolat, l'anorexie prend sa place peu à peu. Jusqu'à ce que Summer se perde...

Ce que j'aimais dans Les filles au chocolat, c'était la joie de vivre, le passage continuel des voisins et des amis dans la maison. Je n'ai pas retrouvé cet aspect dans l'histoire de Summer. Mais tout ne peut pas être rose dans une famille, ou des problèmes furtifs de petits copains au collège....

L'auteur réussit à nous surprendre et à offrir quelque chose de complètement différent. Le lecteur prédestiné pour ce roman et les deux autres est la lectrice collégienne, du même âge environ que les filles au chocolat.  

Un mercredi en images - Mxyomatosis

Un mercredi en images *55*

On profite des derniers instants des vacances pour bouquiner sur la plage....

Credit: Mxyomatosis

Tout un tas de loups - Rémi Courgeon

Tout un tas de loups

de Rémi Courgeon

Mango Jeunesse, 2009. 

Collection: de mouche à orteils

Quatrième de couverture: 

Au départ, il n'y a qu'un loup. À la fin, ils seront sept ! Une histoire complètement délirante de loups plus bêtes les uns que les autres. 

Les loups s'entassent, et les objets remplissent la double page. Les sonorités s'entremêlent. Est-ce la même phrase ? Non, un peu mais pas vraiment. Une ritournelle construite avec une phrase par double page. 

J'ai apprécié ce livre pour le travail sur les mots, et pour le plaisir de le lire à haute voix. Il ne sera toutefois pas dans mes coups de coeur, par contre il fait partie de ceux de Capucine. Lorsque je lui ai demandé "Tu me prêtes 4 ou 5 livres que tu aimes bien ?", Tout un tas de loups faisait partie de sa sélection. 

Comme quoi ! Et puis les enfants ont toujours raison ! 

Sisterhood Everlasting - Ann Brashares

Dans la version originale, le livre sans sa couverture, est blanc, devant et derrière. Pas de quatrième de couverture, avec un résumé orientant la lecture.

J'ai adoré retrouver les Quatre filles, même sans leur jeans. À découvrir sans attendre ! 

Si vous voulez partager votre lecture, pourquoi ne pas le faire le 7 septembre 2012 !!

J'ai lancé l'idée d'une lecture commune sur le site Livraddict, PAR LÀ !

Que vous soyez ou non, membre de Livraddict, passez par ici le Jour J et laissez vos émotions ressenties lors de la lecture de ce livre (sans dévoiler le coeur du livre, pour ne pas gâcher la lecture des autres ...) Bonne lecture à tous ! 

Vive l'école ! - Kididoc

Vive l'école !

Collection: Kididoc 

Illustré par Marion Piffaretti

Curieux petit, Curieux pour la vie ! 

Curieux, c'est clair qu'il faut l'être pour explorer ce livre. Il y a des choses à tirer, à ouvrir, à toucher, à pousser, à tourner... Le livre s'anime sous les mains de l'enfant. 

Au début de la journée de classe, racontée dans ce livre, la porte s'ouvre pour aller à la rencontre de la maîtresse. On peut regarder ce qui se trouve dans le sac à dos du petit garçon qui accroche son manteau dans le couloir. Les verres se renversent à la cantine le midi. On peut caresser le lapin qui traîne dans un coin de la classe, et voir par la fenêtre, un papa qui arrive pour la sortie de l'école.  

En cette fin août, ce genre de livres abondent dans les librairies, mais je dois dire que celui-ci m'a particulièrement intéressé. 

L'histoire est simple, le déroulement en 6 double-pages, d'une journée de petite ou moyenne section, mais les détails sont nombreux. Un enfant de 2 à 4 ans pourra explorer le livre tout seul (les pages cartonnées sont idéales, après si l'enfant n'est pas du tout soigneux, oui il pourra quand même déchirer toutes les fenêtres qui sont à ouvrir....mais bon faut y aller !). 

Les parents pourront participer avec le texte qui est ajouté aux illustrations. 

Ce documentaire pour les très jeunes lecteurs est parfait pour ceux qui veulent savoir ce qui se passera à la maternelle dans un peu plus d'une semaine ! 

Lorsque la radio discute avec Claude Ponti - France Inter

Credit: 66mafs

Cet été, France Inter fourmille de livres pour enfants, avec notamment Petit Lu et Approuvé, mais il n'y a pas que ça ! 

Dans le Grand Bain, vendredi dernier, on pouvait écouter Claude Ponti parler de ses livres et taquiner les journalistes. Ce dessinateur d'Adèle et de poussins, est un incontournable lorsque l'on s'arrête un peu dans le rayon des albums pour la jeunesse dans une librairie.

Vous connaissez sûrement Blaise, le poussin masqué... D'ailleurs en préparant cet article, je me suis rendue compte que Mlle Wikiped lui consacre une page entière. La grande classe pour Blaise !

Si vous avez déjà écouté cette émission, oubliez le petit lecteur, là juste en dessous, (sinon Sautez-lui dessus !)  et allez voir plutôt du côté de la Lune, toujours sur France Inter. (Ré)écouter l'émission, par là-bas. Claude Ponti doit aimer le café de France Inter alors que Pénélope Bagieu dit qu'il est "pas si mauvais que ça" (Et oui! Écoutez ça!), pour revenir aussi souvent !

J'écoute la radio et on me parle de Tolkien et de Bilbo le hobbit

Credit: evil-monkey3

Lorsque je prends la voiture, lorsque je pars marcher, lorsque je vais camper, j'ai mon iPod dans la poche et les écouteurs dans les oreilles... 

...ou plutôt j'avais... depuis cet épisode de Bilbo le Hobbit, je ne sais pas ce qui s'est passé. Mon iPod est resté bloqué. Il a scotché sur Tolkien. Il n'en démords pas. Et moi je ne peux plus écouter mes podcasts... Je vais remédier au problème vite fait, ne vous inquiétez pas !

Bref ! Avant que tout se coince j'ai pu écouter cette émission :

On n'a pas fini d'en lire, Bilbo le Hobbit de J.R.R. Tolkien, par Joann Sfar

C'était le Samedi 28 juillet 2012 sur France Inter

Et c'était bien ! J'aime quand on parle comme ça d'un livre lu par des millions de personnes. Joann Sfar transmets sa passion. Il y est question d'Harry Potter et d'Hunger Games. C'est étrange de se rendre compte que des romans d'aujourd'hui, là, maintenant, resterons pour plusieurs générations, peut être....

En ce moment Kik lit ça ... Les derniers Soon de Syros

La rentrée littéraire approche. J'ai eu la chance de recevoir en avant-première trois livres de la collection Soon des éditions Syros, dont deux pour les plus jeunes dans le format Mini-Syros. 

Je me suis fait un malin plaisir de les attaquer sans trop regarder les couvertures, sans lire le résumé. 

J'espère que ces dernières parutions d'une collection que j'adore, seront à la hauteur de tous celles que j'ai déjà lues. Vous aurez bientôt mon avis pour Rana et le dauphin de Jeanne-A Debats et pour Moi, je la trouve belle de Carina Rozenfeld, que j'ai déjà lus. En ce qui concerne Théa pour l'éternité de Florence Hinckel,il faudra attendre un peu plus longtemps, mais j'ai déjà été conquise par le premier chapitre. 

Affaire à suivre....

Bonnes lectures estivales à tous !

En ce moment Kik lit ça... Hunger Games et d'autres choses !

Les vacances sont propices à la lecture... 

J'ai fini la trilogie Hunger Games. J'ai dévoré le troisième tome pratiquement d'une seule traite dans une longue matinée. Au milieu de ces trois livres, j'ai intercalé, car ils prenaient moins de place dans mon sac à main, des romans pour des lecteurs plus jeunes, Enterrement d'une vie de cancre d'Hervé Mestrom, Momo, petit prince des Bleuets de Yaël Hassan et Zoé tout court tome 7 de C.M. Harper. Pas de coups de coeur à l'horizon, mais ça je vous en reparlerai. 

Par contre, je vous conseille très très très très vivement la trilogie de Suzanne Collins. Les Hunger Games vous noueront le ventre, voire même vous feront verser une petite larme...

J'aime quand la lecture d'un livre me transforme. 

Juste là tout de suite maintenant, j'ai le plaisir de lire en avant-première Never Sky de Véronica Rossi. Je remercie chaleureusement les éditions Nathan pour ce privilège  !

Bonne lecture à vous ! 

La radio rediffuse et parle toujours de littérature pour la jeunesse

Credit: Kateri12

Lorsque j'écoute la radio, je me dis: 

"Mais quoi ? Qu'est-ce donc ?"... Une rediffusion ! 

Et pas de n'importe quelles émissions ! 

Jules Verne au programme cette semaine dans La Marche de l'Histoire, comme cela avait été le cas en décembre 2011. 

Cinq émissions à écouter en direct cette semaine, les horaires et toutes les autres informations sur le site de l'émission ICI ou à (ré)écouter en utilisant les podcasts de décembre: LÀ. 

La sélection jeunesse et adolescente de Ça peut pas faire de mal.

On peut (ré) écouter:

Les best-sellers de la littérature adolescente 

 Les classiques de la littérature jeunesse.

On y croise Peter Pan, Stephenie Meyer, Fifi Brindacier, Oliver Twist, JK Rowling et Harry Potter... Du beau monde de la littérature pour jeunes. 

Bonne écoute estivale !

J'écoute la radio pendant l'été : Le livre numérique

Ce matin dans Le miroir de l'actu sur France Inter, il était question de livres numériques et de leur transmission.

Une petite réflexion de quelques minutes.
À écouter en passant par ici.

Bon été !

 

Credit: Tiimeless