La théorie de la contorsion de Margaux Motin
Hachette (Marabout), 2010.
Après la lecture du tome 1, J'aurais adoré être ethnologue..., je m'étais directement attaquée à cette théorie de la contorsion, avec une petite pointe d'appréhension. Et si c'était moins bien ? Et si j'étais déçue par cette poursuite de la lecture? Peut on réussir à raconter son quotidien sous forme de BD toujours avec de l'originalité et de l'humour?
La situation de Margaux Motin n'a pas changé, elle est toujours une fille, la mère d'une petite fille, une épouse, une parisienne branchée, une fashionata accro aux godasses, une BD blogueuse...
Rien n'a changé et pourtant j'ai senti une souffle nouveau dans ce livre. La mise en couleur n'est pas tout à fait la même. Les dessins sont remplis d'animation.
Aucune déception. Aucune lassitude.
J'adore toujours autant !
Comme la dernière fois, je vous propose un exemple de ce qu'on peut lire et admirer dans La théorie de la contorsion:
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