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dimanche 18 décembre 2011

Le dimanche, je relis la presse: La mode enfantine... ou pas. Pourquoi pleure-t-il?

Ca n'a pas l'air si génial d'être top model...
Le dimanche, je relis *26*

Dans le n°33 de Milk à la  page 42, je découvre cette photo et ce texte:
Smalto propose une collection garçon, depuis déjà trois saisons, du 7 au 14 ans. Une ligne enfin officialisée au défilé printemps-été 2012 de la dernière Fashion Week Homme. On en pleure de joie.
... Ah... ah... ou Gloups plutôt.... Je n'ai du tout trouvé cette phrase drôle. Je ne suis pas à fond dans l'éducation d'enfants rois, qui peuvent tout faire, dont on écoute tous les désirs, les envies et les caprices. Mais là... Franchement, ils ne préparent pas des top models de rechange lorsqu'il s'agit d'enfants? Aucun gosse avec le sourire ne pouvait se rendre sur le podium à la place de celui qui apparement n'en avait pas du tout envie ?  On ne parle pas d'obliger un enfant à faire ses leçons pour l'école ou à ranger sa chambre (qu'il a lui même mis en bazar), non... il est question d'un défilé de mode, "LE" truc, qui est pour moi, pas obligatoire du tout. Pour les enfants, la mode ou le cinéma, c'est un bonus, un truc en plus, une chance inouïe s'ils ont l'occasion de croiser son chemin, mais en rien une obligation. 

En cherchant des informations pour compléter cet article, j'ai lu
Les autorisations individuelles sont accordées par le Préfet sur avis conforme d'une commission constituée au sein du Conseil départemental de protection de l'enfance. L'agrément pour les agences de mannequins est accordé pour une durée de un an renouvelable sur avis de la même commission. Les enfants ne peuvent pas travailler le dimanche et seulement en dehors des périodes scolaires. (cf. : article L211-7 du code du travail)

Dans ces conditions, je comprends qu'il est difficile de recruter des mioches pour les agences de mode, et qu'ils ne peuvent pas en avoir 50 000 en réserve. Mais là.... Enfin bref, vous l'aurez compris j'ai été perturbée par cette photo et par les autres du même défilé trouvés sur internet... Peut être que je ne suis pas faite pour lire des magazines de mode enfantine après tout....J'espère avoir votre opinion sur ce sujet. 

Genre j'entends rien, je vois rien, je continue à avancer...

Mon plus beau sourire, pour dire que je suis le top model le plus sympa du monde avec les enfants.... Ouais, c'est ça ! Perso je n'y crois pas du tout. 

mardi 18 octobre 2011

Je lis la presse: Milk n°33

Milk - n°33 - Août 2011

Pour le n°32, j'avais déjà parlé de Milk et présenté le magazine en général. L'article au complet: ici
Cette fois, pour ne pas répéter les mêmes réflexions je ne vous livrerai que mes coups de coeur et mes bémols spécifiques à ce numéro, pour vous donner envie de lire (ou pas) ce numéro particulièrement, même si vous avez déjà lu d'autres numéros de Milk. 

La couverture pique ma curiosité "Rentrée mode et littéraire". Je me dis: "Chouette, chouette, on va parler livres pour enfants. 

Bémol: Ma première impression en commençant à feuilleter ce magazine est la répétition: les mêmes publicités (même marques, même photos) et encore une référence à La table Come and Draw de Tiang Tiang, j'avais déjà lu et vu tout ça dans le n°8 de Doolittle. Après vérification, ce n'est vraiment pas les mêmes rédactions... Comment trouvent-ils leurs idées ? Pourquoi les mêmes reviennent dans différents magazines ? 

Coup de coeur: Ciné avec la présentation du film Le skylab, dans un article d'Elen Pouhaër: Julie in the sky, p. 70.

Coup de coeur: Rencontre avec Matali Grasset . Interview très intéressante de la créatrice de l'exposition Le Blobterre, au centre Pompidou. (Galerie des enfants du 1er octobre 2011 au 5 mars 2012). pp.74-76.

Coup de coeur: Le dossier Mamans Plumes! qui renvoie au titre de la couverture, lié à la rentrée littéraire. Pas de littérature pour la jeunesse, mais de belles rencontres avec des mères écrivains, dont Margaux Motin♥). pp.90-96. par Aude Bunetel. 

Coup de coeur: Une rubrique mode intitulée: Low Colors, avec des photos de Tim Marsella, et des styles de Hélène Lahalle. Des noeuds ici et là "aux teintes subtiles et nuancées". De très belles photographies, même si ... on reparlera plus tard de la mode et des enfants. 

Si vous ne connaissez pas encore Milk, allez le feuilleter et pourquoi pas l'acheter dans votre maison de la presse. 
Bonne lecture !

lundi 22 août 2011

Je lis la presse: Milk n°32 Juin 2011

Milk n°32 Juin 2011

Au cours de navigation sur le web, je suis arrivée sur la page de Marie Claire Enfants. Je ne sais plus quel chemin tortueux cybernétique, j'ai emprunté, mais le résultat a été cette page, ici. Super Chouette, un magazine pour les parents, qui parlent des enfants, mais pas seulement des bébés pleurnichards. Génial ! Je fouille un peu, un deuxième numéro semble être sorti. Mon porte-monnaie dans la poche je pars à la maison de la presse:
- Vous avez le Marie Claire Enfants?
- Ah oui... On a eu ça, mais bon je ne sais pas s'ils en ont fait un nouveau. Ca date un peu... D'ailleurs je n'en ai plus. Mais si vous voulez, il y a Milk et Doolittle

Voilà comment j'ai découvert Milk, dont je vais vous parler aujourd'hui et Doolittle à découvrir mardi prochain. Pour Marie Claire Enfants, j'ai fait 5 ou 6 maisons de la presse, rien de rien, nulle part. Certains me demandent même si ce magazine existe vraiment, ou si ce n'est pas le fruit de mon imagination. J'ai laissé un mail sur le site. Aucune nouvelle. Tant pis. Si quelqu'un de chez Marie Claire lit ces mots, ma boite aux lettres sera ravie de recevoir un exemplaire de Marie Claire Enfants pour qu'il soit lu par moi même et critiqué sur ce blog. (Me contacter à cette adresse)

Désormais parlons de Milk en général, et du n°32 de Juin 2011 en particulier.


Premières impressions sur Milk: J'adore le sous-titre: Concentré enfantin pour parents contemporains.  La couverture est colorée, juste comme il faut pour la période estivale. Le papier est glacé, très agréable à prendre en main. Les gros titres annoncent: Folklore estival - Jours de fêtes et Escapades. Je suis repartie de la maison de la presse, avec le sourire, ravie de cette découverte.
Après les premières pages de présentation (Mentions légale, Edito, Contributeurs...), on découvre la rubrique A suivre, pleine de découvertes ou d'informations, un peu en vrac, avec de très courts articles. On trouve des actualités Mode, Cuisine, Photo...


En plein dans le magazine Milk: Ensuite s'enchaînent des thématiques avec des articles plus développés, je vous en cite quelques unes: Vie pratique, Expo, RDV, Portrait, Humeur, Tendance, Découverte, Psy, Tourisme, Destination, Rencontre, Déco, Vie de famille... Avec ses 168 pages, ce magazine Milk emmène le lecteur à travers le monde entier de manières très différentes. Les photographies sont superbes quelque soit le sujet abordé.
Je m'intéresse à l'enfance, mais je n'ai pas d'enfant moi même. Et pourtant j'ai aimé lire ce magazine. Il aborde des sujets selon un point de vue "Famille", mais sans utiliser un ton gnangnan, genre "Nos petits chéris d'amour si précieux...". Non, dans Milk, les familles partent au bout du monde avec pour seuls bagages un sac à dos par enfant et par parent. On recherche le côté pratique, tout en étant très fashion victim

Coups de coeur ou Morceaux choisis:
Expo-Rétro: Gonflés d'Aude Bunetel pp. 42-45: "Jouets ringards ou oeuvres d'art ? Ces créations animalières, nées entre 1963 et 1981 de l'imagination de la Tchèque Libuse Niklovà, ont aujourd'hui leur place au musée des Arts décoratifs à Paris. Une exposition qui leur insuffle une seconde vie. La designer a mis au point une gamme très riche de jouets gonflables, dont la Girafe jaune (1971), l'un de ses créations les plus connues."  
J'avais déjà entendu parler de cette exposition au musée des Arts décoratifs. Cet article a fini de me convaincre. Prochaine étape je donne mon avis personnel sur cette exposition. 



Humeur: L'heure est à la révolution de Dies Blau p. 55. "À l'heure où la toupie connaît un regain d'intérêt dans le cours de récréation, interrogeons-nous sur ce vaste laboratoire des modes en vigueur quand nos enfants choisissent leurs jeux."

J'aime ce magazine car il parle d'autres choses, que de la dernière collection Mode de tel ou tel créateur, dont les fringues, excessivement chers, ne sont disponibles que dans une seule mini-boutique à Paris.
Je reviens au sous-titre: Concentré enfantin pour parents contemporains. C'est exactement ça !

Dernier coup de coeur: Les rubriques de Laure Griffin à la fin du magazine, une double page pour chaque thème. De bonnes idées de découvertes au sujet de Livres, Expos, Festivals, Ciné. Des actualités qui invitent à s'intéresser aux derniers événements culturels "enfantins".

J'espère bientôt lire le prochain numéro de ce magazine et ne pas être déçue après cette très bonne impression.