dimanche 16 octobre 2011

Le dimanche, je relis le magazine Doolittle

Le dimanche, je relis *17*

Le magazine Doolittle n°7 et n°8

J'aime les podcasts de France Inter.
J'aime les pop-up.
J'aime le magazine Doolittle. 
Trois ingrédients réunis dans ce Dimanche, je relis n°17:

**À découvrir sur le site Doolittle, une vidéo qui donne vie aux pages du magazine:  par-là.

**À écouter, un podcast de l'émission La revue de presse singulière du 13 Août 2011 par Clélie Mathias: là-bas. (Elle fait référence au numéro 7)


**À relire mes deux chroniques, sur les numéros 7 et 8 du magazine Doolittle: pas si loin

Credit: Kidimo


Au sujet de Kidimo, mon ami Google m'a emmené là-bas à travers le mot Doolittle. Très bon hasard. Site à découvrir. 

samedi 15 octobre 2011

Je lis la presse: Je bouquine - Bayard

Je lis la presse : Je bouquine - Octobre 2011
Bayard

Il se présente comme "Le premier magazine de littérature pour les 10-15 ans". J'en ai lu des dizaines et des dizaines entre mes 10 ans et mes 15 ans et même après (Je piquais ceux de mon frère... quoique... il lisait déjà peut être Courrier International... Je ne sais plus trop!)
Ca doit faire 10 ans, ou un peu moins que je n'ai pas ouvert un exemplaire de ce magazine. 
Je m'y replonge, pour découvrir si les rubriques sont toujours les mêmes, et pour savoir si je suis toujours autant emballée. 

Au sommaire
- Roman: Les prisonniers de la peste de Brigitte Coppin, illustré par Julie Ricossé
- BD: 4 soeurs de Malika Ferdjoukh, illustrations de Lucie Durbiano (Je lis le sommaire en même temps que je rédige cet article, et mon cerveau me crie "AAAaaahhhh Malika Ferdjoukh et les 4 soeurs. J'adooooooore ! Un sourire sur le visage, je me dis que j'ai de la chance)
- Bonne/Mauvaise humeur - Tous écrivains, Adoportraits 
- BD: Bonk
- Actus livres, cinéma, musique
- Feuilleton: Marion de Fanny Joly, illustré par Catel Muller
- Grand concours Je bouquine des jeunes écrivains avec Philippe Claudel
- BD littéraire: un conte du boudoir hanté de Pu Songling

Rien de bien nouveau dans le sommaire. Je ne suis pas perdue. Je retrouve le Je bouquine de mon adolescence. C'est parti pour la lecture. Tout me tente et me donne envie. 

*******
Je reprends l'écriture de cet article, après avoir lu le Je bouquine d'octobre 2011, et...
Houuuuuahhhhhhh ! 
Je veux m'abonner ! 
Il y a de la lecture, des actualités, de la musique, de la BD, des anecdotes, le courrier des lecteurs... Je conseille ce magazine à tous les adolescents qui aiment bouquiner. Rq: La rubrique ActuLivres est très bien faite.

En supplément: 
- Le blog officiel à découvrir: On bouquine

- Si vous avez entre 9 et 13 ans, allez faire un tour sur le site du Prix BD/Manga






vendredi 14 octobre 2011

Bientôt chez moi, mais aussi chez vous ? - La semaine d'Alice

Du 14 octobre au 14 novembre, il n'y a qu'un pas.
Le Lapin Blanc vous a-t-il rendu visite ? Comment ça vous n'aimez pas le thé ?
Est-ce votre nonanniversaire aujourd'hui ? Il y a de fortes chances...

Mon invitation à la Semaine d'Alice tient toujours. À un mois de cet événement, j'espère croiser sur vos blogs des allusions aux personnages de Lewis Carrol et au Pays des Merveilles. 

Vous n'avez pas entendu parler de la Semaine d'Alice? Un message explicatif en cliquant ici.
Pour retrouver les parutions liées à la Semaine d'Alice, cliquez sur le Lapin avant qu'il ne parte en criant qu'il est en retard, encore et toujours... "Le Lapin..."



Vous avez des questions ? Laissez un commentaire, et je me ferai un plaisir de vous répondre. 


Mission Alice - Un recueil de textes de science-fiction

La Semaine d'Alice se prépare à la bibliothèque des Champs Libres

Précédemment, j’avais promis de me renseigner sur Alice et le Pays des Merveilles pour vérifier les informations fournis par Wikipédia. Je me suis donc rendu à la bibliothèque des Champs Libres. 
Ce que je pensais: Ils proposent prochainement une exposition sur Alice au Pays des Merveilles, ils vont avoir plein d’ouvrages sur ce sujet. 
En réalité: Ils proposent prochainement une exposition sur Alice au Pays des Merveilles, tous les livres sur ce sujet sont empruntés.

Mais je ne me suis pas arrêtée là et voici ce que j’ai trouvé:
Mission Alice
Textes réunis par Richard COMBALLOT
Illustration de Philippe CAZA
MNÉMOS, coll. Icares n° (64), novembre 2004  

Quatrième de couverture:
«La mitrailleuse Lewis était inefficace. L’ennemi semblait invincible. Alice régla patiemment sa hausse et appuya sur la détente. La balle étoila le verre du masque à gaz et ressortit par la nuque. Alice quitta momentanément son poste, et beugla dans l’escalier: 
La tête, les gars, visez la tête!» 
Depuis 1862 où Lewis Carroll lui donna naissance lors d’une promenda en barque sur l’Isis, jusqu’à aujourd’hui, Alice fait rêver. Vingt et un des meilleurs écrivains français d’imaginaire venus de tous les horizons (littérature générale, fantastique, polar, SF) mettent en scène la petite fille blonde et son créateur. 
Rencontre avec Sherlock Holmes, le marquis de Sade ou Gérard de Nerval... Voyages dans le Paris de la Commune et dans le futur, plongée au coeur de l’étrange, escale au très psychédélique pays du Sergent Pepper ou retour au Pays des Merveilles... Tous les coups sont permis, toutes les variations possibles, pour le seul plaisir du lecteur! 


Le prologue propose des rappels sur la vie de Lewis Carroll de son vrai nom, Charles Lutwidge Dodgson, et sur les premières étapes de création du roman. Ces informations permettent de mieux appréhender les textes qui suivent. 
Vous trouverez le nom des auteurs participant à cet ouvrage collectif ici.
Certaines histoires sont crues. Les relations entre Alice et Charles (l’auteur) ne sont pas toujours au beau fixe. Des coups sont portés.

Coup de coeur: Qui a tué le lapin blanc? Echec à Sherlock Holmes de JP. Naugrette
Excellent! Logique ? Non-sens ? J'adore la référence à Jekyll .



jeudi 13 octobre 2011

Monsieur Stan n'a qu'à bien se tenir - Claudine Aubrun et Delphine Perret

Monsieur Stan n'a quà bien se tenir
de Claudine Aubrun pour le texte et de Delphine Perret pour les illustrations
Syros, 2011. 

Comme promis ici, voici le deuxième livre de la journée qui est dans toutes les bonnes librairies depuis aujourd'hui. Et c'est toujours la grande classe ! (Vous voyez le sourire de Stan (le chien) sur la couverture du livre et bien c'est celui qui se trouve sur mon visage en ce moment, mais j'espère est moins insupportable que lui...)

Quatrième de couverture: À son grand désespoir, le jeune Antoine vite avec le chien le plus horripilant du monde. Le dénommé Stan, au culot inouï, donne son avis sur tout et fait ses coups en douce. Cette année-là, Antoine se réjouit de participer au spectacle de l'école. Et voilà justement que Stan obtient le premier rôle dans un film en 3D. Cette fois,  c'est est vraiment trop...

Sous cette présentation de l'histoire, l'éditeur précise: 
Un roman graphique à l'humour dévastateur !

"Roman graphique", mouarff... ça veut dire quoi exactement ? Comme mon ami Google, j'aime demander son avis à Mlle Wikiped (jolie prénom, n'est-ce pas?) Sa réponse n'est pas très convaincante, lorsque je la compare au livre que j'ai devant moi, à part ces quelques mots: "certaines de ces créations ne font plus appel à la structure traditionnelle de la bande dessinée (planche divisée en cases contenant des phylactères) et donnent une part plus importante au texte. " ou encore "il désigne le plus souvent une publication en un tome d'une histoire complète où le texte n'est plus nécessairement encastré dans des phylactères." Donc de la BD avec plus de texte... 
De nouveau Mouarff... Monsieur Stan n'a qu'à bien se tenir est plutôt un roman pour la jeunesse (dès 9 ans, d'après l'éditeur, et je suis d'accord!) avec des illustrations nombreuses représentant des scènes décrites dans le texte, associées à des planches de BD où les dialogues se trouvent dans des phylactères (des bulles, quoi!). J'ai beaucoup aimé aller d'un style d'écriture à un autre. On passe de la narration "classique" à une planche de BD sans discontinuité. Cela donne un réel rythme au texte. On n'est pas ennuyé par des dialogues, qu'on a envie de commenter par "Blablablablablaaa..."
Donc pour la forme, j'adhère à 300%.

Pour le fond, les deux premiers chapitres ne m'ont pas convaincue. Je ressentais la même aigreur qu'Antoine. Mais c'est qui ce chien qui se croit tout permis et qui se pavane car il a décroché un rôle dans un film à succès ? On peut vraiment faire un roman sur un chien acteur ? J'ai continué et je ne fus pas déçue par la suite. Antoine reprend le dessus sur Stan, et l'histoire devient carrément hilarante (encore une fois l'éditeur à raison, j'ai essayé de trouver un autre adjectif, mais c'est celui qui qualifie le mieux ce passage du roman), lorsque Stan doit faire un régime pour coller au mieux à son rôle dans le film (le chien super-star se fait kidnapper par des ravisseurs de chien et se retrouve séquestrer). 

Pour résumer, un auteur et un illustrateur (ce sont deux femmes, mais j'ai du mal avec "une auteure" alors je généralise et le masculin l'emporte) que je ne connaissais pas mais que j'ai envie de découvrir plus amplement. Pour vous donner envie de lire les aventures de Stan et d'expérimenter la lecture d'un roman graphique voici quelques illustrations en plus. 
Bonne lecture !




Avant ces aventures de Stan et Antoine, il y en a eu d'autres Oust ! ou L'insupportable Stan (même auteur, même illustrateur, même éditeur, et j'espère même moments de plaisir de lecture... J'aimerai vraiment, énormément beaucoup le lire ! ;) ... J'espère bientôt. 

Credit pour les images Delphine Perret et éditions Syros