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mercredi 11 février 2015

Un mercredi en images. Les trésors de Je Bouquine

Des romans qui sont parus la première fois il y a une petite dizaine d'année, pour être sûr que les lecteurs actuels de Je Bouquine ne les connaissent pas. 
Des romans rassemblés autour d'un thème, je trouve l'idée très intéressante. 
Des romans Spécial Aventure que j'ai découverts avec plaisir (Je ne les avais pas lus au début des années 2000). 

lundi 19 mai 2014

Anne Percin dans Je Bouquine - Ma mère (son cancer) et moi

Dans le Je Bouquine de ce mois de Mai 2014, le Roman est d'Anne Percin ... 

Ma mère (son cancer) et moi 
d'Anne Percin 
Illustrations d'Aline Bureau
Bayard Jeunesse 
Le jour où Tatiana découvre que sa maman est atteinte d'une maladie grave, son monde vacille. Et Tania va se battre. Pour sa mère, pour elle, pour leur vie ... La maladie n'a qu'à bien se tenir ! 

Ce Je Bouquine, il me le fallait, ABSOLUMENT. Car j'aime la manière dont Anne Percin écrit, et parce que je voulais savoir comment elle parlerait de la maladie, qui peut toucher un parent. Le cancer, est un sujet sensible pour moi en ce moment, j'avais déjà fait une sélection, ICI

Je ne réussirai pas à transmettre les émotions ressenties lors de la lecture de ce roman Je Bouquine, avec justesse. Mais je peux essayer ... 
Comme Anne Percin le dit dans l'interview, mise à la suite dans le magazine, elle a voulu dédramatiser, jouer avec l'humour. Elle sait bien le faire, tout en conservant la gravité de la situation. Elle livre aussi la colère de l'adolescente, ou peut être était-ce la mienne qui transpirait dans ma lecture ? Je ne sais pas trop ... Dans tous les cas, passez à la maison de la presse, ou allez à la bibliothèque, pour découvrir ce Je Bouquine. Pour une fois, il n'est pas question d'un adolescent atteint d'un cancer, mais de son point de vue, face à la maladie du parent. 

Aussi une manière de se demander, si là, dans la classe, pas loin, il n'y a pas un camarade dans cette situation, et qui pourrait avoir besoin d'une petite dose de compréhension, de bonne humeur... 

J'aimerai bien que cette histoire, se prolonge et bénéficie d'une publication, comme pour ces deux autres Je Bouquine. Un roman plus long, pour en savoir plus, pour aller plus loin avec ces personnages. Même si j'ai une boule dans le ventre, en pensant à la possibilité que l'histoire ne se finisse pas bien, celle de Tatiana, de sa maman, et celle qui se déroule, là, dans la vraie vie. En réalité, je ne veux pas connaître la fin de l'histoire, je ne veux pas qu'il y ait une fin ... 


Rien à voir ... Car là j'ai besoin, de changer de sujet ... 

En feuilletant le Je Bouquine pour la première fois, je me suis dit: 
Trop cool ! Il y a de nouveau les BD d'Henriette. 
Ah non !... C'est un revival pour les 30 ans de Je Bouquine. Un anniversaire qui me donne un coup de vieux... 
Mais quand même, ça fait plaisir de retrouver Henriette. Il lui manque juste un smartphone ! Là, il est question de l'arrivée d'un ordinateur et de la connexion internet chez elle. En (re)lisant ce passage, j'ai entendu en fond sonore, le modem 56k qui bippait ! 


Pour aller encore plus loin ... 

Du même auteur j'ai aussi lu ces romans: 

N'importe où hors de ce monde
Anne Percin
Oskar, 2009.

Quatrième de couverture:
Diane a seize ans, des cheveux dans les yeux et pas beaucoup d'amis. Au lycée, elle appris l'habitude de passer inaperçue. Et même, parfois, elle disparaît: pas besoin de pouvoirs magiques, pour cela une maladie suffit ... Diane aime la musique, les garçons qui ont de beaux yeux et la poésie... Alors, puisque le monde est beau, tout de même; et qu'on y est jamais aussi seul qu'on le croit, elle va trouver un moyen d'exister aux yeux des autres, un moyen fort, efficace comme un coup de poing, rouge comme un drapeau révolutionnaire, rouge comme un rideau de théâtre, rouge comme un coeur bat .. 

Un morceau d'adolescence, comme Anne Percin sait si bien nous les livrer. Un combat contre soi, contre les autres. Une recherche de soi. La découverte des autres. Pas forcément le roman qui m'a le plus plu de cet auteur, tout en demeurant un bon moment de lecture. 

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À quoi servent les clowns ? 
Anne Percin 
Le Rouergue, 2010. 

Quatrième de couverture : 
Aux abord de Saint-Dizier, un tout jeune tigre échappé de cirque Ramon vagabonde .. La vie de Mélinda, déjà bien compliquée va prendre un virage à 180 degrés ! 

Le bord d'une route, une aire de stationnement, sur laquelle pas grand monde ne passe, un manque d'argent, une mère et ses deux filles. 
Et puis ce tigre ... 
Au début, je ne voyais pas d'issue à la vie de Mélinda. Tout semblait aller dans le mur. Comment aller continuer le roman ?
Et puis ce tigre ... 
Un événement étrange, un événement digne d'un fait divers qui pourrait faire 5 lignes dans le journal du coin. 
Et puis ce tigre ... 
... fait complètement basculer la vie de Mélinda. J'ai aimé sentir la situation se retourner, j'ai aimé le chemin pris par l'auteur. 

Un coïncidence, un peu de chance. Ce roman m'a laissé une bonne impression alors que je l'ai refermé. Il m'a fait peur et sourire en même temps. Il est assez court, et pourrait s'adresser à des lecteurs un peu plus jeunes, que le lectorat habituel d'Anne Percin.  

À découvrir, si vous ne connaissez pas encore ce titre d'Anne Percin. 

vendredi 11 avril 2014

Quand les Je Bouquine donnent des romans

Deux Je Bouquine, qui donnent des romans, 
Deux romans de Je Bouquine, qui grossissent pour leur sortie en livre, 
Deux histoires que j'ai beaucoup aimées. 

Un roman avec des échanges de lettres, 
Un roman, qui est carrément devenu une dystopie en deux tomes, 
Deux romans à lire dès le collège. 

Quand les Je Bouquine donnent des romans ...


Le garçon d'à côté de Maïa Brami du n°348 de février 2013 devient ... 

Les princes charmants n'existent pas
de Maïa Brami
Nathan, 2014. 

Présentation de l'éditeur :
À quinze ans, Nora est une incorrigible rêveuse, qui préfère le glamour hollywoodien d'une Ava Gardner aux amours bien prosaïques de sa copine Julie avec le beau gosse du lycée. Lorsqu'un jour une lettre de rupture adressée à son voisin, un certain Rodrigue, tombe sur son balcon, elle renvoie la missive au bon destinataire. Il lui répond. De lettres en lettres, les deux jeunes gens deviennent intimes. Sans vraiment oser passer à l'action, Nora ne peut s'empêcher de rêver à une histoire d'amour avec Rodrigue. Mais la réalité peut-elle être aussi belle que le fruit de son imagination?


Le titre de ce roman ne me disait rien. J'ai commencé à lire avec une envie de légèreté et d'histoire d'amour. Puis au bout d'une dizaine de pages, une impression de déjà-lu s'est emparée de moi. J'ai fouillé internet,  mais ce n'était pas une réédition, ni une traduction. J'ai fait un appel sur Facebook, "Ça vous dit rien une adolescente, qui porte toujours les pulls de son père et qui échange des lettres avec son voisin, qui est pianiste, sans vouloir se croiser ?". Non, ça ne disait rien, à personne. 
Puis le lendemain, j'ai eu une illumination. J'ai revu le visage de cette jeune fille, de la couverture du Je Bouquine, et je me suis souvenue. Un peu de temps pour localiser le magazine, et j'ai eu ma confirmation. 

Pour ce qui est de l'histoire, tout est dit dans la présentation de l'éditeur. J'ai eu envie d'être cette jeune fille qui découvre par hasard une lettre sur son balcon, qui ne lui est pas destinée. J'ai pris plaisir à la redécouvrir dans son grand format. C'est intéressant de repérer le moment où tout bascule, l'instant où l'auteur décide de changer le cours de l'histoire, pour la faire rebondir et prolonger le récit. Car oui, pour transformer un récit Je Bouquine en un bouquin de 293 pages, il ne suffit pas d'augmenter la police de caractères et l'interligne ! 

Voilà l'endroit où Diane ne va pas ouvrir la porte à Rodrigue, la page où elle charge son père ce voisin, qu'elle n'est pas encore prête à rencontrer. Un tiers du roman environ, et ensuite ... Ensuite ce ne fut que découverte et nouveauté, je ne savais plus ce qu'il allait se passer. 


J'aimé cette expérience de lectrice d'une réécriture. J'avais aimé le Je Bouquine, j'ai aimé le roman. Il est à recommander à tous les lecteurs qui ont envie d'une histoire d'amour, mêlée au suspens de l'échange de lettres par balcons interposés. 
C'est aussi une réflexion sur la possibilité d'un amour virtuel. Après tout, cela serait moins romantique, mais cela aurait très bien pu être une rencontre sur internet, avec la peur de se rencontrer en vrai ... 

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La fille du 995.36 d'Yves Grevet du n°321 de novembre 2010 devient ... 

Nox
Tome 1: Ici-bas 
Tome 2: Ailleurs
Syros, 2012 et 2013.  

Un récit de Je Bouquine qui devient une dystopie en deux tomes, c'est étonnant, 
Un récit de Je Bouquine qui devient une dystopie en deux tomes, c'est plaisant. 

Pour cette transformation, Yves Grevet a bien voulu répondre à mes questions. Le principe n'est pas du tout le même que pour le roman précédent. Il n'y a pas un allongement, à partir d'un événement modifié dans l'histoire. Pour Nox, il y a eu une reprise de l'univers, de quelques personnages, et de certains éléments du récit, mais aussi beaucoup d'ajouts  pour donner à l'histoire de l'ampleur. 

Deux romans que je vous conseille, dont j'ai plus amplement parlés ICI, aucun besoin de lire le Je Bouquine, les romans sont beaucoup mieux que l'histoire d'origine ! 


Interview d'Yves Grevet, réalisée en 2013
Bonjour Cécile, 
À la remise du Prix Tamtam Je Bouquine en 2008 obtenu pour le premier tome de Méto, la rédactrice du journal m’a commandé un roman. J’ai d’abord fini les trois tomes de Méto avant de lui répondre en lui envoyant le récit de 60 000 signes que vous avez lu. C’est le format obligatoire. 
L’idée de Nox est venu au cours de la rédaction du tome 2 de Méto où mon héros (dans le premier chapitre) était rendu aveugle et contraint de vivre dans le noir. Il utilisait son odorat, son ouïe mais aussi analysait les déplacements d’air. C’est cette obscurité que j’ai voulu retrouver dans le projet pour Je bouquine. A partir du noir, j’ai conçu un univers : un nuage de pollution qui bloque les rayons du soleil, une hiérarchie sociale déterminée par la quantité de lumière dont on dispose, une recherche permanente de lumière par divers procédés intégrés à la vie quotidienne etc…. 
Au final, j’étais content du résultat mais je m’étais trouvé « à l’étroit » dans ce format. Inventer un univers et y faire vivre une intrigue, plusieurs personnages en 60 000 signes, cela laisse quelques frustrations. Sur le blog du journal, les lecteurs réclamaient une suite ce qui pouvait signifier qu’ils trouvaient que ça manquait de développement. Alors petit à petit, le projet a germé de pouvoir développer l’histoire et j’en ai parlé à mon éditeur qui était intéressé. C’est ainsi que Nox est né. 
Aussi, même si on retrouve les mêmes personnages principaux et la scène de la rencontre entre Lucen et Ludmilla, le projet en deux volumes avait d’autres ambitions. Très vite, j’ai senti qu’il s’adresserait plutôt à des ados un peu plus grands que ceux qui composent le lectorat de Je bouquine en y travaillant le thème de l’héritage et de la paternité (comment se situer par rapport à ses parents, comment devenir parent à son tour en reproduisant ou en s’écartant du schéma qu’on a vécu…) J’avais aussi envie de donner la possibilité à plusieurs protagonistes de s’exprimer, allant même jusqu’à raconter quelques scènes selon plusieurs points de vue. 
Pour résumer, dans le court roman de Je bouquine, tout était en germe et demandait à s’épanouir. -
Yves Grevet

Pour lire ce que j'avais écrit au sujet du tome 1 de Nox, Ici-Bas, c'est par ICI
Pour découvrir, l'ensemble de la lecture commune réalisée avec mes acolytes d'À l'ombre du grand arbre, c'est par

samedi 2 février 2013

Je lis la presse de février: Je bouquine et J'aime lire

Je lis la presse de février
Je vous l'avais promis, je ne m'y suis pas tenue en janvier.

Mais voici mes coups de coeur pour les Je Bouquine et J'aime lire disponibles maintenant en librairie. Je vais me restreindre à 3 coups de coeur, pour cibler l'essentiel. Le top du top de ce j'ai aimé !


Mes coups de coeur pour J'aime Lire
- Les illustrations de Guillaume Long dans le récit
- Le dernier chapitre du récit qui propose une fin inattendue mais très drôle
- La dernière page, avec la BD La cantoche. Le plat de pâtes qui vibre, j'adore !

Mes coups de coeur pour Je Bouquine
- Les illustrations de Joël Corcia pour le dossier littéraire sur Ali Baba
- La rubrique À lire aussi, qui propose D'autres histoires de lettres, après le roman
- La présentation du livre Wonder de R.J Palacio dans les conseils Livres (maintenant j'ai encore plus envie de lire ce livre, ce qui devrait être fait pendant mes vacances !)

Ces magazines sont à découvrir en ce moment en librairie. Bonne Lecture !

dimanche 16 septembre 2012

Le dimanche, je relis Un coup de Coeur de Je Bouquine

Le dimanche, je relis *58*

Dans le Je Bouquine n°343, du mois en cours, j'ai eu le plaisir de voir que Le coeur en braille de Pascal Ruter fait partie des coups de coeur de la rédaction de ce magazine pour les 10-15 ans. Dans les pages Actus, la partie Livres me plaît tout particulièrement. Encore un endroit où je vais trouver de bonnes idées de lecture, qui vont enrichir ma liste de courses littéraires, et nourrir ma pile de livres à lire. 


Un argument supplémentaire pour les romans d'Anne Percin Comment (bien) rater ses vacances et Comment (bien) rater sa love story, qui sont présentés de manière élogieuse, avec un extrait du troisième tome. À lire absolument... De plus, qui a déjà lu Aventuriers malgré eux de C. Alexander London ? Ça a l'air très sympathique... À feuilleter en librairie...
Je profite de cette occasion, pour partager de nouveau la chronique que j'avais écrite sur Le coeur en braille de Pascal Ruter. C'était il y a quelques temps, par

Bonne lecture !

vendredi 24 août 2012

Je lis la presse: Ils étaient dans Je Bouquine il y a 15 ans !

Une fouille historique dans les étagères d'une bibliothèque. 
Des magazines en vrac, datant de ma jeunesse et de celle de mes frères. 
Des souvenirs d'arrivages hebdomadaires d'histoires, de reportages, de BDs. 


Un étonnement ... Je m'arrête. Je connais des noms qui apparaissent sur les couvertures de certains Je Bouquine. J'ai lu toutes ces histoires, en 1991, 1995, 1993, 1995; et je n'ai jamais fait le lien. Je ne me souvenais pas. Je devais partager sur ce blog de littérature pour la jeunesse ma découverte...
Il y a bien longtemps j'ai lu du Marie-Aude Murail (Bon ça, ce n'est pas une grande révélation, je me souviens de quelques romans, aux éditions de L'école des Loisirs), mais aussi du Hubert Ben Kemoun, du Marie Desplechin, du Jean-Marc Ligny, du Malika Ferdjoukh....

À cette époque, les adolescents écoutaient Étienne Daho, et Dire Straits. Ils lisaient sans le savoir les histoires d'auteurs, qui sont désormais devenus des références. En arrivant à cette conclusion, je me suis dit qu'il fallait que je me remette à la lecture des Je Bouquine, je pourrai lire les auteurs à succès de demain....
Direction la maison de la presse, pas de Je Bouquine.... Pfff ! Ils sont nuls ceux là ! Une autre maison de la presse, la même chose... Et ça se répète encore et encore. J'en suis à 6 maisons de la presse dans différents coins de Rennes. Mais c'est quoi ce bordel ! Bayard dites moi: Où trouve-t-on Je Bouquine ? Êtes-vous en rupture de stock ? En grève ? 
Je ne lâche pas mon idée de me remettre à lire ce magazine... mais je dois le trouver pour ça... Affaire à suivre ! D'ici là je vais relire ceux que j'ai sous la main, qui ont un peu plus d'une quinzaine d'années !

samedi 15 octobre 2011

Je lis la presse: Je bouquine - Bayard

Je lis la presse : Je bouquine - Octobre 2011
Bayard

Il se présente comme "Le premier magazine de littérature pour les 10-15 ans". J'en ai lu des dizaines et des dizaines entre mes 10 ans et mes 15 ans et même après (Je piquais ceux de mon frère... quoique... il lisait déjà peut être Courrier International... Je ne sais plus trop!)
Ca doit faire 10 ans, ou un peu moins que je n'ai pas ouvert un exemplaire de ce magazine. 
Je m'y replonge, pour découvrir si les rubriques sont toujours les mêmes, et pour savoir si je suis toujours autant emballée. 

Au sommaire
- Roman: Les prisonniers de la peste de Brigitte Coppin, illustré par Julie Ricossé
- BD: 4 soeurs de Malika Ferdjoukh, illustrations de Lucie Durbiano (Je lis le sommaire en même temps que je rédige cet article, et mon cerveau me crie "AAAaaahhhh Malika Ferdjoukh et les 4 soeurs. J'adooooooore ! Un sourire sur le visage, je me dis que j'ai de la chance)
- Bonne/Mauvaise humeur - Tous écrivains, Adoportraits 
- BD: Bonk
- Actus livres, cinéma, musique
- Feuilleton: Marion de Fanny Joly, illustré par Catel Muller
- Grand concours Je bouquine des jeunes écrivains avec Philippe Claudel
- BD littéraire: un conte du boudoir hanté de Pu Songling

Rien de bien nouveau dans le sommaire. Je ne suis pas perdue. Je retrouve le Je bouquine de mon adolescence. C'est parti pour la lecture. Tout me tente et me donne envie. 

*******
Je reprends l'écriture de cet article, après avoir lu le Je bouquine d'octobre 2011, et...
Houuuuuahhhhhhh ! 
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Il y a de la lecture, des actualités, de la musique, de la BD, des anecdotes, le courrier des lecteurs... Je conseille ce magazine à tous les adolescents qui aiment bouquiner. Rq: La rubrique ActuLivres est très bien faite.

En supplément: 
- Le blog officiel à découvrir: On bouquine

- Si vous avez entre 9 et 13 ans, allez faire un tour sur le site du Prix BD/Manga