Le roman de l’été de Nicolas Fargues
Folio, 2011.
En juillet dernier, j'avais donné mon opinion sur ce roman. Je n'avais pas été conquise. Ma chronique à relire là-ici.
Lorsqu'un éditeur m'offre un livre, j'aime le faire partager. L'accord est simple quand on reçoit un service de presse, en tant que bloggeuse: un livre en cadeau à condition que l'on en parle (en bien ou en mal d'ailleurs. Peu importe, du moment qu'on en fait la chronique).
Ce roman ne m'a pas plu, mais j'ai joué le jeu. Je suis même allée plus loin. Je voulais avoir un deuxième avis, alors je l'ai prêté à Béca. C'est une lectrice "adulte". Elle aime des livres que je trouve un peu barbants, mais elle me fait découvrir également des ouvrages que j'apprécie.
Je lui ai tendu Le roman de l'été: "Tu peux me dire ce que tu en penses... J'ai eu beaucoup de mal à accrocher. Je ne l'ai même pas fini".
Nous sommes parties en vacances, chacune de notre côté. À notre retour, sa réponse n'a pas tardé à arriver:
"À partir du moment, où je l'ai commencé je n'ai pas pu m'arrêter. Je l'ai fini ce matin, au petit déjeuner.Je connaissais cet auteur de nom, j'avais aimé One man show. J'aime bien comme il écrit. Et ce personnage qui veut absolument faire percer la cette fenêtre. c'est complètement fou, mais tellement vrai. Nicolas Fargues réussit à décrire la société d'aujourd'hui avec un ton... (NDLR: Béca cherche ses mots)... Oui j'ai vraiment beaucoup aimé"
Bon... ok... Je n'ai rien à ajouter. Bonne lecture à tous.
Note pour moi-même: Prêter d'autres romans à Béca.
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