vendredi 1 février 2013

Libération de livres #7: Ça dure, pour mon plus grand plaisir

Libération de livres #7

Les livres à libérer ont donné envie à pas mal de monde...


Livre n°43: Mes chères voisines de Maria de los Santos 
Livre n°44: La vie est un arc-en-ciel de Cecelia Ahern 
Livre n°45:  Le journal de Katie Sutton de Jenny Smith
Livre n°46: Divergente 1 de Veronica Roth
Livre n°47: Divergente 2 de Veronica Roth
Livre n°48: Le chat beauté de Florence Hinckel
Livre n°49: Dany dit NON ! de Rachel Hausfater
Livre n°50: Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de MA.Shaffer et A.Barrows

Cette libération de livres s'est déroulée sur plusieurs jours, avec des livres qui ont trainé sur mon bureau, puis dans mon sac à main. Ils ont attendu que je trouve un endroit idéal, pour les déposer. 

Les premiers livres ont été pour Anne-So, une amie en convalescence. Un peu de lecture pour passer de bonnes journées. Trois livres laissées sur sa table, avant un déjeuner partagé. 


Puis j'ai pensé qu'il serait sympa de faire profiter mes voisins de mes libérations de livres. Alors au milieu de la nuit, me voici en chaussettes, descendant au rez-de-chaussée pour déposer les livres sur des boîtes aux lettres. 


Un livre mis là pendant la nuit, qui était toujours là, le lendemain matin. 



Deux autres livres que je voulais glisser dans la boîte aux lettres de ma voisine, avec qui je partage mes lectures. Mais il y a eu un "léger" problème... Ils étaient un peu gros pour passer dans le trou. Pas très grave, ils furent déposer quelques jours après directement sur sa table basse, à côté d'une bonne tasse de café !


Un livre dans un arrêt de bus, en face de mon lieu de travail. 




Et pour finir, après un lavage de mains, au moment où je reprenais mon sac à main, j'ai laissé ce livre à côté d'un lavabo dans les toilettes d'une station service, sur l'autoroute reliant la Bretagne et la Normandie. Il y avait des allers et venues. Les autres femmes entraient et sortaient. J'ai eu quelques instants de répit. Là c'était maintenant. Et voilà, il est resté là, dans l'attente d'un nouveau propriétaire. 





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